Côté Amiga, pas grand-chose à dire. Il vous suffit de récupérer les deux Boing Bag, de mettre votre CD de l’OS 3.9 dans le lecteur et les mises à jour se font toutes seules. Un dernier reboot et il vous suffit de cliquer sur l’icône Install patchs du Workbench. Un petit script ira vérifier que les Boing Bag ont bien été installés et procédera à l’installation de patchs non officiels (la liste est donnée avant l’installation).

Voilà, c’est tout ! J’ai volontairement insisté sur la procédure d’installation pour simplifier la démarche de recherche au minimum et éviter les éventuels découragements.
Il ne vous restera qu’à configurer quelques options pour obtenir un Workbench prêt à l’emploi (clavier, fuseau horaire) et remettre vos clefs personnelles au bon endroit (ex : mui, frogger, etc…)

Une fois installé, Amikit pèse la bagatelle de 316Mo sur votre disque dur. Voyons maintenant en détail ce qui a été installé et pré-configuré.

Amikit : Qu’y trouve-t-on ?

Premier démarrage et là, grande surprise ! C’est un Workbench ça ???
Et bien, oui ! Le travail est superbe (fond d’écran et icônes très jolis, barre de tâche transparente, etc…). Le bureau est bien rangé, pas besoin de passer des heures à tout aligner, sauvegarder la position des icônes. L’auteur a du passer des heures pour en arriver là.
Visuellement, c’est une réussite.

Ensuite, Amikit, c’est quoi ? Il s’agit de Directory Opus Magellan II installé en remplacement du Workbench. (d’où la requête d’enregistrement au démarrage). D’emblée, l’utilisateur se retrouve avec un environnement pré-configuré (association des types de fichiers, paramétrages des menus, boutons, fenêtres, etc...)
Pour ceux qui connaissent Magellan, l’intégration avec le Workbench est parfaite et apporte de nombreuses améliorations (FTP, menus supplémentaires)